Notre époque « moderne » a toujours ses esclaves. Le vieux monde européen n’en a pas fini de contraindre les individus par la menace et la violence à être exploités et asservis. A Toulouse, les prostitués aux mains des réseaux de proxénétisme se rencontrent au bord du canal, aux alentours de la gare ou avenue des États-Unis, chassées de plus en plus en périphérie par le harcèlement policier dans la clandestinité et l’invisibilité, là où cette situation immonde peut se poursuivre en toute impunité. Continuer la lecture