L’anarcho-poète

Moi, monsieur, je m’oppose à vos lois imbéciles
A vos fausses faveurs, à vos sergents de ville
A ce que vous osez dans votre tribunal
Appeler la justice, appeler la morale.
Je n’ai jamais été de ceux qu’on dit rebelles
Ou de ces pauvres gars qu’on nous dit criminels
Je suis un travailleur, enfant républicain,
Ou comme vous le dites, un de vos citoyens.

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